Chose promise, chose due !
Je ne sais plus si j'avais relu mes commentaires. Par conséquent, soyez clément quant aux éventuelles fautes (je me relirai quand j'en aurai le courage !).
Chez les IngallsEst-ce moi, ou est-il bien vrai qu'on aperçoit un volet derrière Laura, quand elle lit la légende à Carrie. Si oui, j'ai l'impression que cette fenêtre au-dessus du lit de Charles et de Caroline n'y est pas toujours, comme dans "L'étranger dans la maison", mais bon, c'est à vérifier !!!
J'aime beaucoup Laura qui s'applique à faire la lecture à Carrie, tandis que cette dernière n'en a rien à faire : elle ne veut qu'accompagner Laura et Mary en ville !
J'adore la robe qu'a Mary, c'est la verdâtre avec des fleurs ; elle lui va à ravir, et met bien en valeur son corps.
On voit la table de la cuisine, où Charles lit un livre. Qu'y a-t-il de poser devant lui, près de la lampe ? Des poids pour les balances ? Des réserves de tabac ?
Quand Caroline montre à Carrie qu'elle a peur de ses pieds, au moment où elle les saisit, elle les frappe, au point que l'on entend du bruit !! J'adore la réplique de Carrie : "Alors, j'ai peur de mes pieds". Elle est résignée à avoir peur de ses pieds toute sa vie !
Puis une erreur : on a un plan où on est à la place de Carrie et on voit le porte-manteaux où pendent une sacoche et une veste. Le plan suivant montre Carrie, et ensuite, on revoir ce porte-manteaux, et la veste a subitement disparu, alors que personne ne l'a prise ! De même, l'objet (je ne sais pas ce que c'est) qui se trouvait à côté du rocking-chair quand Mary est venue parler Charles, a subitement changé de place !!
Chez les OlesonTiens, tiens, on voit bien que l'horloge des Oleson ne fonctionne pas vraiment ! En effet, l'aiguille des minutes est sur le "6" (cela veut dire qu'une demi-heure est passée). Or, l'aiguille qui indique les heures est exactement sur le "8", au lieu d'être entre le "8" et le "9". Oui, oui, je sais je cherche la petite bête, mais bon, c'est tout de même une erreur !
Comme par hasard, un pot de fleurs est posé sur la rambarde près de l'escalier. Et évidemment, Laura, effrayée devra le casser !
Par la suite, une fois que Nels sort et vient parler à Laura, je trouve un peu "moyen" ce qu'il dit ! Quand on sait qu'il n'a que coupé la tête d'un mannequin, c'est vraiment exagéré ce qu'il lui raconte !! Jamais on ne dirait ça en ayant uniquement coupé la tête d'un mannequin !
Et il rapproche au fur et à mesure, son épée de la gorge de Laura, ce qui manque également de naturel ! Alors, est-ce pour lui faire peur ou le scénario est-il exagéré ? Ce qui me fait dire ça, c'est aussi les répliques qui suivent :
Nels (avec un ton qui n'est pas le sien, très étranger, angoissant) : Nous sommes amis tous les deux ?
Laura Ingalls : Oui, bien sûr !
Nels Oleson : Tu dois pouvoir comprendre pourquoi j'aimerais ne pas voir ce petit secret s'ébruiter tout à coup. […] Pas un mot de cela à quiconque !!! Promis ?
Bien ! considérons cette affaire morte et enterrée pour toujours ! Bonsoir Laura.
Comme à la fin du dialogue, il redevient naturel, je me dis que c'était fait exprès, qu'il voulait effrayer Laura, à cause de sa curiosité.
Et je rajouterais que je ne comprends pas pourquoi il précise que personne ne critiquera plus ses épées. Qui donc sait qu'il en a ? Et combien de temps et combien de fois les utilisent-ils car c'est bien le seul épisode dans lequel on les aperçoit...
Tiens, tiens, la si courageuse Harriet ne semble plus l'être tant, quand elle voit Nels qui s'approche d'elle avec son épée !
Chez les Ingalls
Scène peut-être pas extraordinaire, mais qui, par sa rareté mérite d'être soulignée : Caroline est assise et est en train d'écrire sur une feuille, une plume et un encrier posés à ses côtés.
Pour l'époque (1975), je trouve que le cauchemar est techniquement bien réalisé !
On aperçoit des ombres de branches sur le drap des filles. Pourquoi pas, mais d'où viennent-elles ? Elles n'ont pas d'arbre devant leur fenêtre !
Héhé, on retrouve notre scène traditionnelle, celle du lever de soleil, présente dans de nombreux autres épisodes !
Sur la routeLe lendemain, les filles se rendent à l'école. Le 1er novembre n'est (ou n'était ?) donc pas férié aux Etats-Unis.
Laura : "Ce n'est pas une histoire ! Je l'ai vu de mes yeux !" => Oui, il valait mieux quand même, plutôt qu'avec les pieds.
J'aime beaucoup :
M : "Pourquoi n'irais-tu pas voir Madame Oleson ?"
L : "Je ne peux pas aller la voir."
M : "Pourquoi ?"
L : "Parce qu'elle n'a plus de tête !"
Il n'empêche, heureusement que Laura a promis de ne rien répéter à personne !
Au villageCarl Sanderson : "Moi un soir, à la maison, j'ai vu un géant qui s'approchait de moi. Et j'ai eu peur. Tu penses, j'ai crié. Et mon père m'a alors montré que c'était une ombre".
=> D'après vous, qui est ce père dont il parle ? John Sanderson ou Isaïah ?
Grosse incohérence selon moi ! Quand Carl et Laura se dirigent vers le magasin, on voit Mary (enfin je crois que c'est elle !) et une autre fille qui entrent dans l'école. Puis on aperçoit un garçon qui arrive en courant et se dirige aussi vers l'école. Ensuite Carl craint d'arriver en retard en cours. Or, quand tous deux ressortent du magasin, la cour est pleine d'enfants qui jouent... Et bizarrement, quand ils sont arrivés au niveau de la diligence, tous ont de nouveau disparu !
D'ailleurs je trouve aussi que la lueur du soleil ne correspond à celle que l'on a habituellement le matin, mais plutôt celle de fin d'après-midi...
Bien évidemment, les tombes sont cette fois-ci présentes à côté de l'église !
Chez les OlesonCharmant Nels, en petit tablier à dentelle bleu clair. ^^
Nous qui parlions de l'origine de la viande, voilà une petite précision de Nels : "Pourquoi vous ne mangez pas ? C'est un excellent rosbif ; je suis allé l'ACHETER moi-même."
Pff, qu'il est gourmand quand même ce Willy. Accepter d'obéir à Nellie, en échange de son rosbif, puis vider son assiette encore pleine ! Il a un grand estomac, mais est bien chétif, proportionnellement à ce qu'il mange !
Chez les IngallsDes fleurs à la fenêtre, en novembre ? Mouais...
Tiens, tiens, scène assez rare : un moment de complicité mère-fille entre Caroline et Laura. Dommage que cela n'arrive pas plus souvent !
Lorsque Laura rêve, on constate qu'elle ne porte pas la même robe que celle qu'elle a depuis le début de l'épisode, mais celle qu'elle aura à partir de ce rêve et jusqu'à la fin.
Héhé, pour une fois ce n'est pas Carrie qui part en courant vers les toilettes, mais Laura. C'est bizarre, les filles n'avaient pas de pot de chambre...
Il est un peu neuneu le vendeur qui tombe presque amoureux de son mannequin.
On découvre par la même occasion que Nels parle seul, et à voix haute, qui plus est. Comme par hasard...
Je n'avais jamais remarqué les bacs contenant des céréales ou des légumes secs, situés au pied du comptoir.
Quand Laura et Carl prennent la fuite du magasin, on remarque bien que Melissa Gilbert jette volontairement la lampe !
Dans la natureQuand les enfants vont chercher le tablier, je trouve la mise en scène faite par Nellie et Willy réaliste, grâce à la réplique : "Quand j'ai parlé des bruits de pelle à Nellie, elle m'a dit de la fermer, ou alors elle irait tout dire à Papa" (ou quelque chose dans ce genre !).
A l'écoleEh bien à l'époque, les cours d'instruction civique était encore plus rapide et efficace que de nos jours ! Deux minutes, et puis basta ! "On passe au calcul !"
Chez les IngallsIncohérence technique : si l'on voit des ombres (qui ne devraient pas y être, comme déjà dit plus haut) sur le lit des filles, c'est que la lumière de la lune est dirigée vers leur fenêtre. L'éclairage est donc mal fait sur cette scène :
C'est amusant, un des soirs précédents, Laura n'ose même pas sortir pour aller aux toilettes, alors que là, elle va seule au village, en pleine nuit !
Au cimetièreJ'aime beaucoup la façon dont est filmée la scène d'ouverture du cimetière, avec cette espèce de travelling vertical. Ça rend vraiment bien.
Je ne peux m'empêcher de remarquer que c'est le seul épisode où l'on entend tant de coyotes !
Et à nouveau un travelling vertical, mais cette fois-ci dirigé du bas vers le haut qui nous donne l'impression d'être la "force maléfique" qui menace les deux enfants.
Au magasin des OlesonPourquoi la petite clochette au-dessus de la porte ne résonne-t-elle pas quand ils ouvrent la porte ?
Quand Laura descend dans la cave, sa veste reste accrochée à l'échelle. Je pense que ce n'est pas fait exprès et vous ?
Punaise, il est casse-pied Willy avec son "Faisons-le/allons-y ENSEMBLE"!!
Lorsque Laura et Carl voient le fantôme, ils jettent leur bougie à terre. Hors la cave est en bois. Elle devrait donc prendre feu...
Très solidaire Carl !
L : "Et Willy"
C : "Trop tard, le fantôme l'a déjà attrapé !"
Mais bon, tel est pris qui croyait prendre : Willy et Nellie se retrouvent enfermés dans la cave !
J'adore Harriet, quand elle rentre. On dirait qu'elle s'adresse à des chiens ! : "Venez voir Maman"
Eh bé, Laura se dévergonde : "ça m'aiderait que tu me tiennes la main !"
Passage illogique. Une fois que Laura et Carl ont assommé Harriet et que Nels arrive dans la cuisine, celui-ci commence à parler très naturellement aux enfants ("Va me chercher de l'eau"). Ce n'est que dix secondes après qu'il semble surpris de leur présence !
Excellent, Laura qui lâche le mannequin qui vient à nouveau assommer Madame Oleson, qui commençait seulement à reprendre ses esprits !
Petite scène que je trouve très mignonne. Quand Carl a l'idée de jeter la tête du mannequin dans la cave pour effrayer Nellie et Willy, il va le murmurer à l'oreille de Laura. Celle-ci soulève sa natte contre sa tête, puis la relâche lorsqu'il a fini, comme si cela avait pu l'empêcher d'entendre !
J'adore la scène finale ! Rêve ou réalité ?...